JEAN-LUC ADDOR
CONSEILLER NATIONAL
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Je crois que le Valais est un grand canton doté d'un riche patrimoine, de fortes traditions et d’habitants incroyables. Notre canton est formidable, capable d'atteindre la grandeur et de montrer la voie dans de nombreux domaines d'activité : le sport, l’industrie et la recherche, le tourisme et l’économie, l’agriculture de plaine et de montagne, ou encore l’énergie. Ce que je crois et qui fait la force de notre Valais, je veux l’amener à Berne, pour un Valais plus fort.
Je pense que la Suisse peut, et même doit, être meilleure pour le Valais. Je veux pour notre canton un pays qui voit loin, fier de ses racines et de son histoire, mais qui se soucie aussi de l’instant présent de tout à un chacun : le pouvoir d’achat pour les familles, des primes de caisses maladie abordables, des moyens plus efficaces de lutter contre la criminalité et assurer l’indépendance sécuritaire de notre pays. Enfin, avec une économie mondiale de plus en plus compétitive pour nos entreprises, nous devons avoir une indépendance énergétique renforcée, nos barrages actuels et futurs qui font la force du Valais feront la force de la Suisse.
Pour ces quatre prochaines années, je m’engage pour un Valais plus fort, c’est-à-dire dont les particularités sont mieux entendues, mieux comprises et surtout mieux défendues.
Pour une Suisse indépendante et neutre
UNION DÉMOCRATIQUE DU CENTRE
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Jean-Luc Addor
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20'740 suffrages pour avoir l’honneur de représenter le Valais et les Valaisans pour une législature encore au Conseil national… 23'371 Valaisannes et Valaisans qui m’ont soutenu dans l’élection au Conseil des Etats… A vous toutes et tous qui m’avez fait confiance, je vous dis un grand MERCI ! Je ferai tout pour être à la hauteur de cette confiance renouvelée.
A ce résultat dont je suis honoré, je souhaite associer
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d’abord, mon épouse et mes enfants ; car la famille, même si nous en parlons dans nos discours, nous savons qu’elle constitue un soutien essentiel, mais qu’elle est aussi la première victime d’un engagement politique aussi intense ;
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mon comité de campagne, une petite équipe de fidèles dirigée de main de maître par Raphaël Filliez, des personnes qui m’ont entouré et soutenu tout au long de cette campagne tout de même éprouvante et parmi elles, ma graphiste Muriel Bagnoud www.murielbagnoud.com à qui je dois une ligne graphique que j’espère, vous avez appréciée, notamment sur mon site www.jladdor.ch ;
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les candidates et candidats de toutes les listes de l’UDC du Valais romand ; car sans cet effort de groupe, je ne serais pas là où je suis aujourd’hui ;
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Kevin Pellouchoud, chef de campagne pour l’UDCVR, qui a permis à ce groupe d’arriver victorieusement à l’objectif en traversant les inévitables tensions inhérentes à toute campagne comportant des enjeux tels que celle qui s’est achevée hier ;
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les personnes et entreprises qui ont soutenu financièrement ma campagne ;
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tous les militants et sympathisants de l’UDC du Valais romand qui, sur le terrain, dans leur entourage, ont travaillé à la progression historique que notre parti enregistre en Valais et dans le Valais romand en particulier ;
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bien sûr, Savièse, qui m’a fait l’honneur de la première place aux Etats et de la seconde au National.
Ce résultat magnifique m’honore. Surtout, il m’oblige. Vous savez que j’ai une ligne. Une ligne plutôt droite. Cette ligne, je crois l’avoir suivie depuis le début de mon engagement politique et depuis huit ans à Berne. C’est dans cet esprit que je ferai tout, durant la législature à venir, pour me montrer digne de votre confiance. Je veux rester toujours fidèle à nos couleurs et à votre écoute.
Pour un Valais fort.
MERCI !
CES QUESTIONS VOUS CONCERNENT ?
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"Un Suisse découragé n'est pas un véritable Suisse, pas davantage ceux qui marchent à la remorque de l'étranger...
Être Suisse c'est être ferme dans ses convictions politiques et religieuses, tout en étant respectueux de celles des autres.
Être Suisse, c'est être fraternel, c'est chercher l'inspiration individuelle et collective dans l'esprit chrétien, base immuable d'une démocratie véritable dans laquelle liberté et autorité s'appellent réciproquement"
Général Guisan
